le soir où nous marchions vers Brangues
dans la boucle du Rhône
Ophélie me dit en sa langue :
And now let me alone.
c’est sur la tombe de Claudel
que j’ai versé mes pleurs,
aux mânes de Julien Sorel
j’ai conté mes malheurs.
à Brangues je ne vais plus guère
regarder l’eau passer
car mon cœur trop tangue et se perd
aux marais du passé