Je pense aux aurochs et aux anges, au secret des pigments immuables, aux sonnets prophétiques, au refuge de l’art.
Vladimir NABOKOV, Lolita, 1955, traduction de Maurice Couturier
le cahier blanc
Aurélien Delsaux
Je pense aux aurochs et aux anges, au secret des pigments immuables, aux sonnets prophétiques, au refuge de l’art.
Vladimir NABOKOV, Lolita, 1955, traduction de Maurice Couturier